.      Le village de Sortelha

 Peu répertorié dans les guides spécialisés et pourtant!... On pourrait  passer à coté sans se rendre compte de ce que l'on manque.   

 

 

 

 

 

 

 

 

           

      Le parc National de Buçaco  

Avec ses espèces préservées,  les visites du parc à ne pas manquer, la vale des Abestos, la Fonte Fria ou la porte de Coimbra et d'autres.........la sérénité qui se dégage de ces lieux.  et le Palace Hôtel.

 

 Le village fortifié de Castelo Mendo.

      Le village médiéval du XII e situé à 762 m d'altitude surplombant la vallée du Côa

      L’accueil et la gentillesse de ses habitants et ceci dans un décor d'un autre temps

      

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- La galère dans la traversée de Oliveiras de Azemis

- Le camping de Beja enserré dans la ville au milieu des immeubles

-  Evora et son absence de structures adaptées à l’accueil des camping-cars

e 29 Septembre - De Porto Covo à Alvito- 141 km

                              Super beau temps ce matin, aussi  après un dernier petit tour dans Porto Covo, nous reprenons nos itinérances . Cap sur les grandes plaines de  l'Alentejo, nous ne souhaitons pas faire route sur le sud et l’Algarve, ses tours béton et sa surpopulation de camping-caristes étrangers. Nous avons décidé de privilégier  l'Alentejo, ses plaines couvertes d'oliviers et de chênes-lièges, ses villages perchés , ses bourgades   aux maisons badigeonnées de blanc de chaux qui  en arrondisse les contours et les  fonde dans l'ocre de la terre crue.

                              Nous voici sur la N 262 par Alvalade et la N261  par Aljustrel pour rejoindre Beja où nous souhaitons nous poser pour ce soir au parc de campismo. Ce dernier situé en pleine zone urbanisée , enclavé au milieu des  immeubles, après une rapide reconnaissance ne nous incite guère à faire halte . Tant pis pour Beja et son centre historique, faute de stationnement adapté, nous allons continuer notre route.

                            On va sortir des sentiers battus et gagner par la N 258-1, la cité d'Alvito.

                          Alvito qui compte parmi les bourgades les plus charmantes et les mieux conservées du Bas-Alentejo. A 13 heures, nous nous  garons sur le largo Alcaçarias .  A l'office du tourisme on nous remet la documentation sur la cité en nous précisant qu’aujourd’hui, lundi, les différents monuments de la cité sont fermés. Ils seront ouverts demain, pourquoi ne pas rester ici ce soir ?. A notre demande de possibilité de stationnement, aucun problème pour rester cette nuit sur le largo Alcaçarias ( N 38°15'28" W 7°59'26") très .proche du castelo transformé en pousada.

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le largo Alcaçarias

 

 

 

                                           La cité d'Alvito, très à l'écart des circuits touristiques possède malgré tout quelques bijoux, le château transformé en pousada , l'igreja matriz du XVI e siècle sans oublier l'hermida de Sao Sebastiao. Nous terminons la soirée par la visite de la cité.

Igreja Matriz

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l'Hermida Sao Sebastiao

 

 

 

 

 

 

 Le 30 Septembre - De Alivito à Estremoz-  105 km                              Le pelourinho devant le castelo

                            Encore une belle journée qui s'annonce, un dernier petit tour dans la cité, où malheureusement nous ne pourrons accéder à l'igreja matriz, celle ci étant toujours fermée                ( dommage car l'intérieur est entièrement tapissé d’azulejos).

                            C'est par la N 252 que nous gagnons Viana do Alentejo, puis la N 254 qui nous mène à Evora. Nous avions visité la ville d'Evora lors d'un séjour précédent en 2011, nous étions alors restés un peu sur notre faim, était-ce les difficultés de stationnement ? Nous allons tenter notre chance aujourd'hui.  On cale l'adresse du parking de l'aqueduc dans le GPS et on roule.

                            A l'approche du parking, nous constatons que le stationnement toujours aussi  anarchique est surtout mal adapté au gabarit de nos véhicules. Après quelques tentatives, c’est peine perdue, on ne va pas se prendre la tête,............... aussi allons voir plus loin .

Avoir essayé, n'avons pas pu !..

 

                       Nous quittons Evora par la N 370 pour gagner Arraiolos , coquette bourgade aux maisons blanchies couronnée par sa forteresse du XIV e  et surtout réputée pour ses tapis vendus dans de nombreuses boutiques, enfin c'est ce qui est dit dans les guides touristiques.  Nous décidons d'aller voir.  Dès l'entrée de la cité, on annonce la couleur, circulation interdite dans la cité aux véhicules de plus de 3.5T. Qu'à cela ne tienne, nous nous installons sur un parking en périphérie accessible aux PL ( N 38°43'16" W 7°58'323").

                      Nous gagnons à pied, par une ruelle en très forte pente l'enceinte du château ou du moins ce qu'il en reste puisque seuls subsistent le donjon et la lourde porte fortifiée. Au sommet se dresse l'igreja San Salvador, c'est une église de pèlerinage qui malheureusement  ne se visite pas.

                     La descente vers le centre du village nécessite de bonnes chaussures , il faut assurer les prises. Nous déambulons dans les ruelles attentifs à la découverte de ses fameux tapis. Nous trouvons des boutiques qui en expose, par contre nous n'avons pas pu voir le coté artisanal de la fabrication.

 

 

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             Après avoir regagné le camping-car, nous prenons la N 18 IC2 pour Estremoz. A 13 heures , nous nous posons sur le Rossio do Marquès de Pombal, immense place en plein centre ville que nous connaissons pour l'avoir utilisé déjà lors de nos précédents voyages ( N 38°50'33" W 7°35'13"). Nous profitons de cette halte pour visiter le bâtiment de la Camara Municipal du XVIIIe et les superbes fresques d'azulejos de sa cage d'escalier.

 

                        

                     Ce soir nous allons à la Casa Xanegra pour déguster la bacalhau de la casa, arrosée d'un Borba 2012 ,  suivi du "dessert de la Casa", le tout pour 25 € pour nous deux , ceci  dans un cadre très typique.

      Le 01 Octobre - De Estremoz à Sorthela- 216 km

                            Par une température matinale de 19°, nous préparons le départ par l'IP2  pour Castelo de Vide. Nous trouvons un parking à l'entrée de la cité, l’accès  au centre ville étant hasardeux pour un camping-car.  En 2011, nous avions visité  le castelo, aussi nous nous contentons de revoir la place D. Pedro V et les ruelles avoisinantes. La cité, toujours aussi fleurie et offrant à chaque visite des lieux encore inattendus.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

la fonte da Vila du XVI e

          Nous poursuivons notre route par Nisa , Vila velha de Rodao où nous faisons la pause midi sur l'aire  au bord du Tage.

               Après avoir contourné Castelo Branco, route par la N233  vers Pennamacor et Sabugal, où nous avons programmé la halte de ce soir.  Arrivés à Terreiro da Bruxas, changement de programme, nous bifurquons sur la N 18-3 pour tenter de gagner le village de Sortelha soi disant doté d'un joli point de vue.  Nous attaquons la montée, route pas très large, nous restons vigilants car à chaque virage c'est la découverte..........nous continuons. 

             En fin d'après midi, nous stoppons à quelques kilomètres du village sur une plateforme rocheuse dominant toute le vallée. Le  site fait d'un amoncellement de roches est assez féerique dans le soleil couchant. Nous profitons de cette lumière pour immortaliser  l'instant en ce lieu dénommé "Jarrâo".

        

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                  Nous aurons même à la nuit tombée , la visite d'un couple de mariés venu faire leurs photos de mariage  à deux pas du camping-car

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Le 02 Octobre - De Sortelha à Castelo Mendo- 50 km

                        La journée s'annonce belle, une de plus, soleil et douceur agréable. Nous reprenons le camping-car pour aller nous garer un petit peu plus haut, juste à l'entrée de Sortelha. Nous partons à la découverte de ce village médiéval , avec les maisons en granit enserrées entre ses remparts . De la porte d'entrée nous accédons à la place du château devant lequel on peut admirer un magnifique pilori manuélin. 

                          Depuis le chemin de ronde, nous découvrons un formidable  point de vue sur la vallée du Zezère.

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                               Une des portes d’accès au village

 

                    Le site de Sortelha,  ne bénéficiant pas de la même couverture médiatique que Monsanto (que nous avions visité en 2013) n'a pourtant pas à rougir de la comparaison, cela reste pour nous un coup de cœur.

                  Cette matinée tirant à sa fin, nous nous rendons à Castelo Mendo seulement distant d'une cinquantaine de kilomètres. C'est vers midi que nous arrêtons notre véhicule à l'entrée du village sur une large esplanade où nous seront rejoints plus tard par deux équipages français et hollandais.

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                    Le site est super calme, du coup nous décidons de ne pas aller plus loin, et d’en faire la halte du soir..

                    Super bivouac à Castelo Mendo où les dames du village ne vont pas tarder à venir nous solliciter et nous proposer leurs productions locales et artisanales........... Gâteaux fait maison, fromage de chèvre, elles vont même nous inciter à goûter leur propre "production vinicole" qui entre nous est pratiquement imbuvable!......... Nous allons sacrifier à la tradition par l'acquisition d'un fromage  de chèvre garanti local .....juré, craché.

                  Un papi  rentre de sa vigne avec sa charrette tirée par un âne, prend le temps de s’arrêter, nous apprend qu'il à travaillé en France du coté de Lille et va même nous faire cadeau de grappes de raisin fraichement cueillies. C'est cela le coté sympa du Portugal...

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Belle soirée qui s'annonce, instant propice pour saisir les couleurs sublimes du coucher de soleil

 

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Le 03 Octobre-De Castelo Mendo à Miranda do Douro- 195 km

                                Il faut bien quitter ce lieu magique, le soleil est déjà haut dans le ciel quand nous  quittons Castelo Mendo pour Almeida.

                                 Almeida est une place forte, avec un un double système de remparts en étoile à la Vauban dont malheureusement ne subsistent que les anciennes fortifications. Nous bénéficions d'une aire de camping-cars située juste au pied des remparts.

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                     Un rapide tour de la cité puis le départ pour l'ultime étape Portugaise , à savoir Miranda do Douro. En fin de soirée nous retrouvons notre bivouac le long des remparts en compagnie de deux équipages du 59.

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               Il fait nuit, ce sera la dernière au Portugal, nous prenons demain la route du retour pour la France

Les 04 et 05 Octobre- De Miranda do Douro à Arzacq Arraziguet- 670km

                    Après avoir traversé l'Espagne , nous voici en France , direction l'aire d'Arzacq Arraziguet. A 17 heures nous nous posons sur la place du Marcadieu, grande place en centre ville proche de tous commerces seulement nous sommes dimanche  et les commerces.......... Par chance, un "Vival"  est ouvert , nous allons tester les spécialités basques. Le commerçant nous propose "la garbure" soupe locale à base de légumes,pomme de terre,choux, haricot, carotte , navet, manchon de canard et jambon.

                   Ce soir nous avons apprécié la garbure avec un petit Borba portugais, c'est très bon , ça tient au corps.

 Les 06 et 07 Octobre - De Arzacq Arraziguet à la maison- 490 km

                             Voilà, le circuit est en passe d'être bouclé, passage par Peyrusse le Roc  où nous passons la nuit en compagnie d'équipages du 18 et du 44.

                             Un arrêt à Saint Chély-d'Aubrac , pause midi à l’hôtel de la Vallée où pour 31 € pour deux, nous avons dans l'assiette, tourte maison et salade variée, canette en sauce avec sa purée de pomme de terre, fromage et dessert, et 1/2 carafe de vin. Bien servi et qui plus est, avec le sourire du patron , ça compte beaucoup!.....

                            Nous rentrons à la maison , nous avons déjà en tête l'ébauche du printemps prochain, à nouveau la Scandinavie, on ne s'en lasse pas.

                           Merci de nous avoir suivis tout au long de ce voyage en espérant vous avoir fait partager nos coups de cœur.

 

Le 24 Septembre - De Espinho à Luso- Buçaco -  110 km

                       Initialement nous avions choisi Espinho comme point de chute , ayant prévu de se rendre à Porto par le train. Après une bonne nuit, cette dernière portant conseil, nous modifions notre programme , les  péripéties du départ ayant "légèrement  perturbé" notre planning, nous décidons de supprimer cette étape pour nous concentrer sur Coimbra et la foret de Buçaco. Il est vrai que nous avions déjà visité Porto et ses chais en 2011, aussi..................

        Nous quittons donc Espinho vers  10 heures , direction Luso. A Luso, je stoppe à l'entrée de la ville ( Je ne veux pas trop m'aventurer en centre ville sans une petite reconnaissance )  et c'est à pied que je rejoints l'office du tourisme pour glaner des informations sur la forêt de Buçaco.

       La gentille dame de l'office me donne la documentation nécessaire, me précise les horaires et le tarif du stationnement une fois passé la porte du parc. Retour au camping car, on attaque la montée jusqu'à la Porta de Serra où se trouve le poste de péage. Nous acquittons la somme de 7 € et demandons s'il est possible de passer la nuit à l’intérieur du parc-........ nous obtenons une réponse assez évasive...... on verra sur place.

         Nous remontons l'allée qui mène au  Buçaco Palace Hôtel, juste avant, un parking  nous tend les bras,  stop. ( N 40°22'36" W 8°22'00"). Nous sommes à deux pas du Palace Hôtel. Sur le parking, deux camping-cars et deux voitures.

     " Le parc national de Buçaco  constitue sans doute l'une des plus remarquables forêts d'Europe par son caractère quasi tropical .C'est une profusion de rhododendrons, fuchsias , camélias".

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                                     Fonte de Santa Teresa

                   Au cœur du domaine fleuri d'hortensias et de roses, se dresse le somptueux palais élevé par l'architecte Italien Luigi Manini pour le roi Carlos et qui fut ensuite transformé en hôtel-restaurant de luxe dès 1909.

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     Nous passons le restant de la journée à parcourir le parc  , découvrir les arbres majestueux comme le cèdre de José de 5 m de diamètre, la Porta de Coimbra et la fonte Fria. De retour au camping car, nous sommes seuls sur le parking, la soirée s'avançant, n'ayant relevé aucune interdiction , nous décidons de rester sur place pour cette nuit.

          

Porte de Coimbra

.Le 25 Septembre - de Buçaco à Bathala- 152 km

                        Une nuit très tranquille sur le parking du Mata Hôtel de Buçaco.  Nous sortons du parc et faisons route vers Coimbra distant de 25 km. Un point GPS et il nous pilote jusqu'au parc de Choupalinos. Le parc de Choupalinos situé sur la rive gauche du Rio Mondego, à deux pas du pont Santa Clara, aménagé en  stationnement est doté d'une aire de camping-car ( N 40°11'57" W 8°25'43").

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                     Par une passerelle piétonnière nous accédons au largo da Portagem et de là, à la Praça da porta Ferrera où se concentre la velha universidade ( vieille université). Par chance nous assistons au milieu de la place à l'intronisation des nouveaux étudiants. C'est folklorique et surtout bon enfant.

 

                   Nous ferons la découverte de la Sé Velha avec ses allures de forteresse et son clocher en coupole. Au hasard des ruelles pentues jusqu'à la praça da Comerçio nous prenons le temps d' un rapide repas en terrasse pour 8 € avec café et cerveja.

                                                                                      

            Nous retournons au camping car pour reprendre la route vers Penela qui au dire des guides touristiques  évoque Obidos mais en moins touristique. Manque de chance, nous arrivons à Penela au beau milieu de la préparation d'une fiesta, autant vous dire que le parking visé  n'était pas envisageable. C'est bien dommage, car le peu que nous en avions aperçu  donnait envie d'en voir plus.  Nous avons bien fait des tentatives en tournant, retournant, mais c'était sans espoir. Peut-être pour une prochaine fois.

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                Nous prenons l'IC 3 pour Tomar espérant pouvoir faire la visite du Covento do Christo. J'ai l'adresse du parking du sanctuaire calée dans le GPS, on y grimpe par une route fortifiée . Arrivés au sommet, il y a du monde, des parkings réservés pour les voitures, d'autres réservés pour les  bus.  Après avoir interrogé le service d'ordre..........désolé........,complet ......rien de prévu pour les camping-cars...... Nous redescendons , adios Tomar.

              Un peu contrariés......juste un peu......., nous faisons route vers Batalha  et son aire dédiée aux camping-cars proche du monastère.  ( N 39°39'41" W 8°49'31").

 

Le 26 Septembre - De Batalha à Peniche - 70 km

                        La nuit fût bonne, 18° au petit matin et du soleil. Nous ne ferons pas la visite  du monastère pour l'avoir  visité en 2011, par contre on ne se lasse pas d'admirer l'édifice avec sa façade en calcaire patiné par les ans. Nous profitons de cette halte pour faire quelques achats dans le centre touristique.

                                Après le repas, nous nous dirigeons vers Peniche dont nous ne connaissons que le Cap Carvoeiro pour y avoir bivouaqué en 2011. Mais auparavant, un détour par Alcobaça pour visiter le monastère, n'ayant  pu trouver un parking acceptable il y a 3 ans. Je me suis procuré les coordonnées d'un parking ( parait-il en forte pente), nous allons voir ?

                                L'information était bonne, nous nous trouvons devant un grand parking avec une sérieuse déclivité. Nous nous garons tout en haut du parking, nez vers  l'avant, frein à main bien serrè, et même une bonne  cale devant les roues. Le monastère n'est pas trop loin, cela devrait suffire le temps de la visite. C'était sans compter avec  la préposée aux billets d’accès qui n'a jamais  voulu nous laisser entrer avec notre petit yorkshire  même dans son sac. Nous avons bien essayé d'insister, mais peine perdue. C'est dommage.

                            Nous récupérons le camping car et faisons route par la N8 jusqu'à Caldas de Rainha, puis l'IP 6 pour Peniche, où nous trouvons une bonne place vers les bombeiros, au pied de la ville fortifiée en compagnie d'une bonne dizaine d'équipages. La température de 26° est très agréable par rapport aux  30° d'Alacobaça..

Le 27 Septembre - De Peniche à Alcacer do Sal- 195 km

                         Il fait beau ce matin, la nuit a été tranquille. Nous allons faire le tour de la ville fortifiée et du centre touristique. Rien d'extraordinaire si ce n'est  la forteresse dressée au dessus des rochers qui date de XVII e . Elle était autrefois une des plus grandes geôles du régime dictatorial.

                         Après déjeuner, le temps se couvre quand nous prenons la route par la N247, Torres Vedras, Vila Franca de Xira et la N 10 pour Alcacer do Sal. Le ciel devient de plus en plus noir au fur et à mesure de notre avancée, la pluie d'orage nous oblige même à stopper par manque de visibilité, puis tout se calme et c'est sous le soleil que nous stoppons au camping municipal d'Alcacer do Sal

 

Alcacer do Sal et l'église Santa Maria do castelo et ses azujelos de XVII e

Le 28 Septembre - De Alacacer do Sal à Porto Covo- 78 km

                           Ce matin après les orages de la veille, c'est un timide soleil qui nous réveille, toutefois avec une visibilité estompée par la brume matinale.  Nous allons effectuer les services , régler la nuit de camping ( 10,24 € avec électricité) et  prenons la route pour Porto Covo.

                         Porto Covo , où en 2013, nous avions fait une halte rapide, peu enthousiasmés par le décor, il est vrai vu sous un ciel gris . Porto Covo décrit dans les guides de voyage comme "un ravissant village traditionnel sur la falaise aux maisons blanches et bleu". Aussi, on se dit que nous avions dû être conditionnés par la mauvaise météo.................. nous décidons de confirmer ou d'infirmer cette première impression.

                       Au fur et à mesure de l'approche de l'océan, le ciel devient de plus en plus bleu, le soleil donne tout ce qu'il peut. A 13 heures le GPS nous conduit à l'aire de camping-car encore  bien boueuse des orages d'hier.

                      Nous nous dirigeons vers l'aire de la falaise.... ..........mais complète.  Un parking en bord de route  avec vue sur mer nous tend ses pavés . Aucune interdiction de signalée, nous nous installons.

vue depuis le camping-car

                              Après déjeuner, nous allons faire le circuit du sentier de la falaise, bien balisé, de toute beauté . L'océan bleu vert roule ses vagues qui viennent se fracasser sur les rochers en contre bas. Le tour de la station qui à cette époque n'est pas du tout surpeuplée, quelques achats souvenirs pour les enfants et retour au camping car pour la soirée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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